Dans un contexte économique morose, les solutions génératrices de chiffres d’affaires sont précieuses. Connaissance du client, personnalisation sont des alternatives qui s’imposent au début du siècle. Puis, le parcours multicanal des consommateurs s’enrichi et devient plus complexe, générant des données de façon exponentielle. Chaque point de contact est une mine d’informations et d’idées permettant d’élaborer une communication « intelligente ». Facebook et Google, suivis par d’autres acteurs se lancent alors à la conquête du nouvel or noir : le big data. Les entreprises veulent collecter et stocker plus de données pour les analyser en temps réel. On veut transformer l’information en connaissances et outils d’aide à la décision. Cependant, « la magie a toujours un prix », sous-entendu, si le big data présente un gisement d’opportunités, il ne faut pas sous-estimer les obstacles organisationnels et structurels, ainsi que ses limites et effets indésirables. Les chevaliers seront-ils assez créatifs pour que le big data profite à tous ?